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Un sujet de réflexion

L’histoire des traités entre le gouvernement canadien et les Premières Nations est longue et complexe, ancrée dans des siècles de négociations, d’accords et de conflits. Ces traités sont fondamentaux pour la relation entre les peuples autochtones et l’État du Canada, façonnant le paysage sociopolitique du pays.

Les premiers traités au Canada remontent au XVIIe siècle, principalement en tant qu’accords de paix et d’amitié entre les colons européens et les nations autochtones. Ces accords étaient essentiels pour le commerce et la protection mutuelle. Cependant, avec l’intensification de la colonisation européenne, la pression sur les terres et les ressources autochtones s’est également accrue.

Une période significative dans la conclusion des traités a débuté avec les Traités Numérotés, signés entre 1871 et 1921. Ces traités ont concerné de vastes régions du Canada, principalement dans les Prairies, le Nord de l’Ontario et les Territoires du Nord-Ouest. Le gouvernement canadien cherchait à obtenir des terres pour la colonisation, l’extraction de ressources et la construction de chemins de fer. En échange, les peuples autochtones se voyaient promettre diverses formes de compensation, incluant des réserves de terres, des droits de chasse et de pêche, des paiements annuels, ainsi que d’autres dispositions.

Cependant, la mise en œuvre de ces traités a souvent été en deçà de leurs promesses. Le gouvernement canadien a fréquemment manqué à ses engagements, entraînant une désillusion et des difficultés généralisées au sein des communautés autochtones. Beaucoup des termes ont été mal compris ou mal représentés lors des négociations, contribuant à des griefs à long terme.

Au cours de la seconde moitié du XXe siècle, l’attention s’est portée sur la résolution des injustices historiques et des obligations non respectées des traités. Les années 1970 ont marqué le début des négociations modernes sur les revendications territoriales, aboutissant à des accords globaux sur les revendications territoriales, notamment dans des régions non couvertes par les Traités numérotés.

Des accords modernes notables comprennent l’Accord sur la Baie James et le Nord québécois (1975) et l’Accord sur les revendications territoriales du Nunavut (1993). Ces accords visaient à offrir une plus grande autonomie et des opportunités économiques accrues aux peuples autochtones, ainsi qu’un contrôle plus significatif sur leurs terres et leurs ressources.

Les terres non cédées font référence aux territoires que les peuples autochtones n’ont jamais légalement cédés ou abandonnés au gouvernement canadien par le biais de traités ou d’autres accords formels. En Colombie-Britannique, par exemple, de nombreux territoires autochtones sont non cédés, car aucun traité historique n’a été signé dans une grande partie de la province. Cela a entraîné des litiges juridiques et politiques continus concernant les droits fonciers et la gouvernance.

L’impact de ces traités et du cadre colonial plus large sur les Premières Nations du Canada a été profond. De nombreuses communautés autochtones ont dû faire face à des défis importants, tels que la perte de terres, l’érosion culturelle, la marginalisation économique et les injustices sociales. Le système des pensionnats, les déplacements forcés et d’autres politiques d’assimilation ont laissé des cicatrices durables.

Pour aborder l’héritage des terres volées et des traités rompus, il est nécessaire d’adopter une approche multifacette :

  • La reconnaissance légale et la restitution des terres : Il est essentiel de reconnaître et de respecter les droits fonciers des peuples autochtones à travers des cadres juridiques. Cela implique de régler les revendications foncières en suspens, de restituer les terres lorsque c’est possible, et de fournir une compensation équitable.
  • La revitalisation culturelle est essentielle pour soutenir le renouveau et la préservation des cultures, des langues et des traditions autochtones. Cela peut être facilité par le biais d’initiatives éducatives, de financement pour des programmes culturels et de la reconnaissance des systèmes de connaissances autochtones.
  • L’autonomisation économique : Il est essentiel de garantir que les communautés autochtones aient le contrôle de leurs ressources et l’accès aux opportunités économiques. Cela englobe des accords équitables de partage des revenus, le développement des infrastructures et le soutien aux entreprises autochtones.
  • L’autonomie politique : Renforcer l’autogouvernance et l’autonomie politique des peuples autochtones est essentiel. Cela implique de respecter les lois autochtones et les structures de gouvernance autochtone, ainsi que de garantir une participation significative dans les processus de prise de décision à tous les niveaux de gouvernement.
  • L’éducation et la sensibilisation : Accroître la sensibilisation du public et la compréhension des histoires, des cultures et des droits autochtones est fondamental. Cela peut être réalisé grâce à des changements de programme, des campagnes publiques et la promotion de dialogues entre les communautés autochtones et non autochtones.
  • La guérison et la réconciliation : Soutenir les initiatives de guérison et de réconciliation, telles que celles menées par la Commission de vérité et réconciliation du Canada, est crucial. Cela implique de reconnaître les torts passés, d’offrir des excuses sincères et de s’engager dans des actions favorisant la justice et la guérison.

Les traités entre le gouvernement canadien et les Premières Nations témoignent d’une histoire complexe et souvent douloureuse. Reconnaître les impacts de ces traités et la réalité des terres non cédées est essentiel pour progresser vers un avenir de justice et de réconciliation. En abordant les erreurs du passé et en favorisant une relation respectueuse et équitable, le Canada peut œuvrer à réparer les préjudices et à construire une société plus inclusive et harmonieuse.

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Histoire

Voici les dates importantes de l’histoire du Canada pour les mois d’août et de septembre:

Le Traité 1 a été signé le 3 août 1871, au Bas-Fort Garry, dans l’actuel Manitoba, entre des représentants du gouvernement canadien et des nations Ojibwé et Cris des marais. Ce traité a marqué le premier des Traités Numérotés, posant les bases pour les accords ultérieurs avec d’autres groupes autochtones. Le Traité no 1 visait à faciliter la coexistence pacifique et l’établissement des terres par le gouvernement tout en promettant diverses dispositions pour les peuples autochtones, notamment des réserves, des paiements annuels et le droit de chasser et de pêcher sur les terres cédées. Malgré ces promesses, de nombreux aspects du traité ont été mal mis en œuvre, entraînant des litiges durables et des griefs concernant les droits fonciers et les obligations du traité.

Le 10 août 1960, le gouvernement du Premier Ministre John Diefenbaker a promulgué la Charte des droits du Canada. Il s’agissait de la première loi fédérale sur les droits de l’homme au Canada, visant à protéger les libertés fondamentales et les droits des individus contre les atteintes des lois et politiques fédérales. La Charte des droits a confirmé des droits clés tels que la liberté d’expression, de religion et de réunion, ainsi que le droit à un procès équitable. Bien qu’il s’agisse d’une avancée significative, son impact était limité car il ne s’agissait pas d’un document constitutionnel mais d’une loi ordinaire, ce qui signifiait qu’il pouvait être outrepassé par d’autres lois fédérales. La Charte des droits a posé les bases de la Charte canadienne des droits et libertés ultérieure, plus complète, qui est devenue partie intégrante de la Constitution en 1982.

Dans une déclaration formelle prononcée le 14 août 2019, le gouvernement canadien a reconnu les dommages profonds causés par l’abattage généralisé de chiens de traîneau dans l’Arctique des années 1950 aux années 1970. Cette déclaration a abordé l’impact dévastateur de ces actions sur les communautés inuit, pour lesquelles les chiens de traîneau étaient non seulement essentiels pour le transport et la chasse, mais également profondément ancrés dans leur tissu culturel et social. Le gouvernement a admis que l’abattage systématique des chiens de traîneau faisait partie de politiques plus larges visant à assimiler les peuples autochtones, perturber leurs modes de vie traditionnels et exercer un contrôle sur les régions arctiques. Cette déclaration constituait une avancée vers la réconciliation, reconnaissant les torts passés et s’engageant à établir une relation plus respectueuse et équitable avec les Inuit.

Le Traité 2 a été signé le 21 août 1871 entre des représentants du gouvernement canadien et les Anishinaabe (Ojibwés) et les Cris des marais du Manitoba. Il s’agissait du deuxième des Traités Numérotés et visait à garantir des terres pour l’installation européenne et le développement agricole. En échange, les signataires autochtones se voyaient promettre des réserves de terres, des paiements annuels, une assistance agricole, ainsi que le maintien des droits de chasse et de pêche sur les territoires cédés. Malgré ces promesses, de nombreuses dispositions n’ont pas été adéquatement respectées par le gouvernement canadien, entraînant des griefs de longue date et des litiges concernant les droits fonciers, les ressources et l’interprétation des termes du traité.

Le Traité 11, dernier des Traités Numérotés, a été signé entre le gouvernement canadien et diverses Premières Nations dans les Territoires du Nord-Ouest de 1921 à 1922. La découverte de pétrole à Norman Wells a incité le gouvernement à renforcer son contrôle sur les ressources du nord, ce qui a motivé la signature de ce traité. En échange de la cession de leurs territoires, les signataires autochtones se voyaient promettre des paiements annuels, des réserves de terres, des droits de chasse et de pêche, ainsi que d’autres dispositions pour soutenir leurs modes de vie traditionnels. Cependant, comme de nombreux autres traités, les termes du Traité 11 n’ont souvent pas été pleinement respectés par le gouvernement, entraînant des litiges persistants et des défis pour les communautés autochtones concernées.

Créée le 26 août 1991 par le gouvernement canadien, la Commission royale sur les peuples autochtones (CRPA) avait pour mandat d’enquêter sur les relations historiques et contemporaines entre les peuples autochtones et l’État. Pendant cinq ans, la commission a mené des recherches approfondies, des consultations et des audiences publiques, aboutissant à la publication d’un rapport final complet en 1996. Ce rapport, composé de cinq volumes, a offert une analyse détaillée des injustices systémiques auxquelles sont confrontés les peuples autochtones, et a proposé toute une série de recommandations visant à promouvoir la réconciliation, à reconnaître l’autonomie gouvernementale des Autochtones, et à aborder les disparités sociales, économiques et culturelles. Les conclusions de la CRPA ont eu un impact significatif sur les politiques ultérieures et les discussions entourant les droits et les relations des peuples autochtones au Canada.

Le Traité 6, signé le 28 août 1876 entre le gouvernement canadien et diverses nations des Plaines et des Bois Cris, des Assiniboines et d’autres Premières Nations, couvre une vaste région du centre de l’Alberta et de la Saskatchewan. Ce traité visait à ouvrir des terres pour les colonies européennes et l’agriculture tout en fournissant aux peuples autochtones des réserves, des rentes, une éducation et d’autres formes d’assistance, incluant de manière cruciale une clause de “boîte à pharmacie” interprétée comme une promesse de soins de santé. Malgré ces promesses, la mise en œuvre des termes du Traité 6 a été confrontée à des défis, entraînant des griefs continus concernant des obligations non respectées et des interprétations erronées par le gouvernement canadien, ayant un impact profond sur le tissu social, économique et culturel des communautés autochtones concernées.

Entrée en vigueur le 1er septembre 2007, la Convention de règlement relative aux pensionnats indiens (ARPI) constitue un accord historique entre le gouvernement canadien, les représentants autochtones et diverses églises, visant à remédier aux injustices historiques et aux abus subis par les enfants autochtones dans les pensionnats. Cet accord, le plus important règlement de recours collectif de l’histoire canadienne, a octroyé une compensation financière aux survivants, a établi la Commission de vérité et réconciliation (CVR) chargée de documenter et d’éduquer sur l’héritage du système des pensionnats, et a alloué des fonds pour des initiatives de guérison et d’éducation. L’ARPI a constitué une étape cruciale vers la reconnaissance des préjudices profonds infligés aux communautés autochtones et la promotion de la réconciliation entre les peuples autochtones et la société canadienne dans son ensemble.

Le terme “La rafle des années 1960” fait référence à une période s’étendant du 4 septembre 1951 jusqu’à la fin des années 1980, durant laquelle des milliers d’enfants autochtones au Canada ont été enlevés de force à leurs familles par les agences de protection de l’enfance et placés en familles d’accueil ou adoptés par des familles non autochtones. Cette pratique visait à assimiler les enfants autochtones à la culture euro-canadienne, mais a entraîné la perte d’identité culturelle, de langue et de lien avec leur patrimoine. La rafle des années 1960 a eu des effets traumatiques durables sur les enfants et leurs familles, contribuant à un cycle de traumatisme intergénérationnel. Ces dernières années, le gouvernement canadien a reconnu les préjudices causés et a déployé des efforts en vue de la réconciliation et de la réparation pour les individus et les communautés touchés.

La Crise d’Ipperwash fut un conflit foncier qui éclata le 4 septembre 1995 entre le gouvernement canadien et la bande des Ojibwés de Stoney Point en Ontario. Le différend portait sur le territoire du parc provincial d’Ipperwash, que le gouvernement fédéral avait réquisitionné pendant la Seconde Guerre mondiale à des fins militaires avec la promesse de le restituer, promesse qui ne fut jamais tenue. La situation s’est envenimée lorsque des membres de la communauté de Stoney Point ont occupé le parc pour protester contre la non-restitution des terres, entraînant une confrontation avec la Police provinciale de l’Ontario. La crise a culminé avec la tragique mort du manifestant Dudley George, abattu par la police. Cet incident a mis en lumière les problèmes persistants liés aux droits fonciers des Autochtones et a donné lieu à une longue enquête qui a finalement reconnu le traitement injuste réservé au peuple de Stoney Point et la mauvaise gestion de la situation par les autorités.

Les Traités Robinson, comprenant les Traités Robinson-Huron et Robinson-Superior, ont été signés les 7 et 9 septembre 1850 entre la Couronne britannique et les Premières Nations Anishinaabe dans ce qui est aujourd’hui l’Ontario, au Canada. Ces traités avaient pour objectif de garantir des terres pour l’installation européenne et l’exploitation des ressources, tout en offrant aux signataires autochtones des terres réservées spécifiques (réserves), des paiements annuels (annuités) et le droit de chasser et de pêcher sur les territoires cédés. Négociés par William Benjamin Robinson, ces accords ont été parmi les premiers à aborder les droits fonciers des Autochtones au Canada. Cependant, au fil du temps, des litiges ont émergé concernant l’interprétation et la mise en œuvre de ces traités, notamment en ce qui concerne une compensation équitable et l’adéquation des terres réservées, entraînant des défis juridiques et politiques continus.

Le 13 septembre 2007, l’Assemblée générale des Nations Unies a adopté la Déclaration des Nations Unies sur les droits des peuples autochtones (UNDRIP). Cette déclaration historique a établi un cadre complet de normes minimales pour la survie, la dignité et le bien-être des peuples autochtones du monde entier. Elle a confirmé leurs droits à l’autodétermination, aux terres, territoires, ressources et pratiques culturelles. Malgré une résistance initiale de quelques pays, dont le Canada, la déclaration a depuis été largement acceptée et constitue un outil crucial pour faire progresser les droits des peuples autochtones à l’échelle mondiale. L’UNDRIP encourage les États à collaborer avec les communautés autochtones pour mettre en œuvre ses principes, favorisant ainsi la justice et la réconciliation.

Le Traité 4, également connu sous le nom de Traité de Qu’Appelle, a été signé le 15 septembre 1874 entre le gouvernement canadien et plusieurs nations autochtones, notamment les Cris, les Saulteaux et les Assiniboines, couvrant des parties de la Saskatchewan méridionale actuelle et de petites portions de l’Alberta et du Manitoba. Le traité visait à faciliter l’installation européenne et le développement agricole dans ces régions. En échange, les signataires autochtones se voyaient promettre des réserves de terres, des paiements annuels, des vêtements, des outils agricoles et une aide à la formation agricole. Malgré ces engagements, de nombreuses dispositions du Traité 4 n’ont pas été suffisamment respectées par le gouvernement canadien, entraînant des griefs persistants et des défis liés aux droits fonciers, aux ressources et à l’accomplissement des obligations du traité.

Le Traité 5, signé en deux étapes en 1875 et 1908, constituait un accord entre le gouvernement canadien et diverses Premières Nations, incluant les Cris des marais, couvrant des parties des provinces actuelles du Manitoba et de l’Ontario. L’objectif du traité était d’ouvrir des terres pour les colonies européennes, la construction de chemins de fer et le développement des ressources. En échange, les signataires autochtones se voyaient promettre des réserves, des paiements annuels, des droits de chasse et de pêche, ainsi que d’autres avantages tels que des fournitures et de l’aide à l’agriculture. Cependant, le non-respect complet de ces promesses par le gouvernement canadien a entraîné des litiges et des griefs durables parmi les communautés des Premières Nations, mettant en lumière la lutte continue pour la reconnaissance et la mise en œuvre des droits issus des traités.

Le Traité 7, conclu le 22 septembre 1877 à Blackfoot Crossing dans l’actuelle Alberta, représentait un accord entre le gouvernement canadien et plusieurs nations autochtones, dont la Confédération des Pieds-Noirs (composée des Siksikas, des Kainais et des Piikanis), les Stoney-Nakoda et les Tsuut’ina. L’objectif du traité était de libérer des terres pour l’installation et le développement des Européens, notamment pour la construction du Chemin de fer Canadien Pacifique. En échange, les signataires autochtones se voyaient promettre des réserves foncières, des paiements annuels, ainsi que diverses fournitures et services pour les soutenir dans leur transition vers l’agriculture et l’élevage. Malgré ces promesses, le non-respect par le gouvernement canadien des termes du traité a engendré des griefs durables et des défis pour les communautés autochtones concernées, notamment en ce qui concerne les droits fonciers et l’accomplissement des obligations du traité.

Le Drapeau des Survivants a été dévoilé le 24 septembre 2021, lors de la première Journée nationale de la vérité et de la réconciliation au Canada. Ce drapeau a été créé pour rendre hommage aux survivants du système des pensionnats autochtones et pour commémorer les enfants qui ne sont jamais rentrés chez eux. Conçu en collaboration avec des survivants des pensionnats, le drapeau intègre des symboles représentant les expériences diverses et la résilience des communautés autochtones affectées par ces institutions. Le dévoilement du Drapeau des Survivants constitue un rappel puissant de l’impact durable des pensionnats autochtones et souligne l’importance de reconnaître et de traiter ce chapitre douloureux de l’histoire canadienne dans le cadre des efforts de réconciliation plus larges

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Matière à réflexion

Si vous vous trouvez sur des terres visées par un traité, quelles sont les promesses que vous tiendrez, et comment ?

Ressource : Home on Native Land, un cours de dix semaines offert par Raven.

Rappel

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Ressources pour la dédicace de la Bible Mohawk

De nombreuses Bibles Mohawk ont déjà été livrées à des particuliers et à des communautés de foi, et d’autres sont en cours d’acheminement. Le cercle de leadership Living into Right Relations a développé quelques idées pour aider les communautés de foi à dédicacer leurs exemplaires de la Bible Mohawk avec respect et gratitude, y compris des ressources liturgiques, des clips vidéo de Harvey Satewas Gabriel lisant la Bible Mohawk et d’autres ressources sur l’importance de cette traduction.

Pour télécharger les ressources (en anglais) : Ohiatonhseratokénti, The Holy Bible in Mohawk (DOC) ou (PDF)